Introduction:
Entre les deux bras du fleuve non loin de la porte ouest de la ville fortifiée, une grande maison de style Rococo est bâtie sur une île.
Près de la maison, un saule pleure en se penchant vers les remous verts de leau qui forme à cet endroit une petite cascade.
Face à la maison, un pont de pierre.
Les berges du fleuve, impénétrables et sauvages en amont, forment en aval une plage.
On ne peut rejoindre la demeure quen barque et encore faut-il connaître les courants car la traversée est dangereuse.
Cette maison est habitée depuis quelques années par un dame plus très jeune, mais dont on devine quelle a du un jour être fort jolie.
Elle est agréablement potelée, son teint est frais, et surtout elle a regard bleu pervenche à vous couper le souffle.
En ville on papote, que fait cette femme seule dans cette immense maison ?
Au café du coin, on observe, on discute.
On vu lépicier traverser deux fois par semaine, on a tenté de linterroger mais il demeure muet.
Alors les rumeurs se déchaînent, on raconte que la dame de lîle a une liaison avec lépicier.
Dans une ville si petite, la rumeur est revenue aux intéressés, mais ils semblent ne rien entendre.
Les femmes de notables se réunissent chaque jeudi soir pour ce quelles appellent leur "salon".
On y parle littérature, théâtre, musique et peinture.
Et puis surtout on papote.
Cest le lieu où se débattent des problèmes des enfants, des rapports parfois difficiles avec lépoux qui avec lâge devient grincheux, on aborde aussi les aventures possibles et impossibles. enfin de tous ces petits et grands secret,s que lon ne peut quaborder quentre femmes du même milieu
Elles ont fait maintes tentatives pour rompre la solitude de la dame de lîle qui les a chaque fois éconduites poliment.
(A suivre)
Introduction:
Entre les deux bras du fleuve non loin de la porte ouest de la ville fortifiée, une grande maison de style Rococo est bâtie sur une île.
Près de la maison, un saule pleure en se penchant vers les remous verts de leau qui forme à cet endroit une petite cascade.
Face à la maison, un pont de pierre.
Les berges du fleuve, impénétrables et sauvages en amont, forment en aval une plage.
On ne peut rejoindre la demeure quen barque et encore faut-il connaître les courants car la traversée est dangereuse.
Cette maison est habitée depuis quelques années par un dame plus très jeune, mais dont on devine quelle a du un jour être fort jolie.
Elle est agréablement potelée, son teint est frais, et surtout elle a regard bleu pervenche à vous couper le souffle.
En ville on papote, que fait cette femme seule dans cette immense maison ?
Au café du coin, on observe, on discute.
On vu lépicier traverser deux fois par semaine, on a tenté de linterroger mais il demeure muet.
Alors les rumeurs se déchaînent, on raconte que la dame de lîle a une liaison avec lépicier.
Dans une ville si petite, la rumeur est revenue aux intéressés, mais ils semblent ne rien entendre.
Les femmes de notables se réunissent chaque jeudi soir pour ce quelles appellent leur "salon".
On y parle littérature, théâtre, musique et peinture.
Et puis surtout on papote.
Cest le lieu où se débattent des problèmes des enfants, des rapports parfois difficiles avec lépoux qui avec lâge devient grincheux, on aborde aussi les aventures possibles et impossibles. enfin de tous ces petits et grands secret,s que lon ne peut quaborder quentre femmes du même milieu
Elles ont fait maintes tentatives pour rompre la solitude de la dame de lîle qui les a chaque fois éconduites poliment.
(A suivre)
